Cali's tank 220 L jaubert

Joé a écrit:Ok pour la salinité , c'est surtout pour éviter d'embrouiller les membres !

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J'ai édité mon message rien que pour toi

Très jolie ta vue d'ensemble et le Goniopora: il est superbe .

Au fait, pourquoi le berlinois a "crashé"? Il était magnifique!

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Je n'avais pas vu le gonio... Il est superbe. N’hésites pas à m'en parler s'il te gène un jour

Bonne soirée

Eric

Joé a écrit:Au fait, pourquoi le berlinois a "crashé"? Il était magnifique!

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C'est une photo du bac comme il est actuellement , il était plus joli et rempli avant, les causes du crash sont indéterminées à ce jour, j'ai commis des erreurs mais je ne sais pas lesquelles ce qui a été désespérant pour moi.

Le bac avant le crash

Bonjour Cali57,

Tes coraux étaient magnifiques, c'est vraiment dommage. Tu peux faire aussi bien avec la méthode "Jaubert", mais il faut garder à l'esprit que ta patience sera la clé de la réussite.

Par exemple, ton sol est trop jeune et les mécanismes de dénitrification et de dissolution du sable sont un peu différents. La dénitrification hétérotrophe produit un peu de C02 qui peut participer à la dissolution du CaCO3, mais c'est peu de chose au regard des autres processus biogéochimiques impliqués dans la dissolution.

Il faut de 6 mois à 1 an pour que les organismes qui colonisent le sable et les roches soient assez nombreux pour que le CaCO3 qu'ils dissolvent compense la demande. Cela est essentiellement dû au fait que la chute de pH consécutive à l'hydratation du CO2 respiratoire de la faune et de la flore interstitielles n'est pas le seul mécanisme responsable de la dissolution. L'action la plus importante est celle des micros (bactéries, cyanobactéries, champignons et algues et des macros organismes (éponges cliones, vers, mollusques etc.) responsables de la bioérosion.

Ces organismes et microorganismes agissent surtout dans la zone aérobie. Au dessous, dans la zone hypoxique, les bactéries hétérotrophes dénitrifiantes libèrent un peu de CO2 en utilisant l'oxygène des nitrates et des nitrites pour brûler du carbone organique. Une péréquation approximative faite à partir des chiffres, concernant le milieu naturel, publiés dans la littérature scientifique permettent d'estimer que le taux annuel de dissolution des sédiments carbonatés d'un aquarium est d'environ 30-50g par kg.

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